Mélandre Charlemagne
Melandrya caraboides (Linnaeus, 1761)
Classe :
Insecta
Ordre :
Coleoptera
Famille :
Melandryidae
Sous-Famille :
Melandryinae
Tribu :
Melandryini
Genre :
Melandrya
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- 1 observation
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1
commune -
1
observateur -
Première observation
2015 -
Dernière observation
2015
Bocquillon Jean Claude
Informations espèce
Taille :
10-15 mm
Diagnose :
Corps allongé, élargi en arrière, peu convexe, noir avec un faible reflet métallique sur les élytres. L’extrémité des tarses, des palpes et du dernier article antennaire sont brun-rougeâtres. Le pronotum presque aussi large que les élytres porte une impression linéaire de chaque côté de la base. Les antennes sont robustes et atteignent tout juste le bord postérieur du pronotum. Les élytres portent huit sillons longitudinaux peu marqués.
Identification :
difficile, possible sur photo.
Confusions possibles :
Melandrya barbata se reconnaît à ses élytres qui portent quatre forts sillons. Melandrya dubia se différencie par son pronotum plus étroit que les élytres et qui porte deux profondes dépressions latérales.
Périodes d’observation (adultes) :
de fin avril à début juin.
Biologie-éthologie :
Espèce saproxylique dont les larves se développent dans le bois mort des essences feuillues. Les adultes se rencontrent sur les arbres morts qui ont abrité leurs larves.
Biogéographie-écologie :
Toute l’Europe. Elle est inféodée aux forêts de feuillus de plaine bien conservées, répandue mais localisée.
Référence : Houlbert C. & Barthe E. 1935. Melandryidae. Tableaux analytiques de la Faune franco-rhénane. Famille LXX, Miscellanea Entomologica, 35. 72 pp.
H. Bouyon ACOREP-France, 2017. Source : INPN
10-15 mm
Diagnose :
Corps allongé, élargi en arrière, peu convexe, noir avec un faible reflet métallique sur les élytres. L’extrémité des tarses, des palpes et du dernier article antennaire sont brun-rougeâtres. Le pronotum presque aussi large que les élytres porte une impression linéaire de chaque côté de la base. Les antennes sont robustes et atteignent tout juste le bord postérieur du pronotum. Les élytres portent huit sillons longitudinaux peu marqués.
Identification :
difficile, possible sur photo.
Confusions possibles :
Melandrya barbata se reconnaît à ses élytres qui portent quatre forts sillons. Melandrya dubia se différencie par son pronotum plus étroit que les élytres et qui porte deux profondes dépressions latérales.
Périodes d’observation (adultes) :
de fin avril à début juin.
Biologie-éthologie :
Espèce saproxylique dont les larves se développent dans le bois mort des essences feuillues. Les adultes se rencontrent sur les arbres morts qui ont abrité leurs larves.
Biogéographie-écologie :
Toute l’Europe. Elle est inféodée aux forêts de feuillus de plaine bien conservées, répandue mais localisée.
Référence : Houlbert C. & Barthe E. 1935. Melandryidae. Tableaux analytiques de la Faune franco-rhénane. Famille LXX, Miscellanea Entomologica, 35. 72 pp.
Chrysomela caraboides Linnaeus, 1761
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Helops serrata Fabricius, 1775
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Melandrya coerulescens Petri, 1912
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Melandrya luridipes Pic, 1907
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Tenebrio rufibarbis Schaller, 1783