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1
commune -
1
observateur -
Première observation
2016 -
Dernière observation
2016
Tillier Pierre
Informations espèce
Taille : 8 – 12,5 mm
Diagnose :
Punaise entièrement noire, avec des soies sur les bords de la tête, du pronotum et des ailes, et des pattes fortement épineuses car fouisseuses (sous-famille des Cydninae). C’est le plus grand Cydnidae d’Europe qui se distingue par une forte dépression transversale sur son pronotum, la forme de son scutellum en triangle équilatéral, et les bords de la partie sclérifiée des ailes, en zigzag.
Détermination : Simple.
Espèces proches :
Les autres Cydnidae noirs sont plus petits et n’ont pas de forte impression transversale sur le pronotum, un scutellum élancé en triangle isocèle et le bord de la partie sclérifiée de l’aile, droit.
Période d’observation : Mars à septembre avec deux pics en avril et juin.
Biologie-éthologie :
Cette espèce est souvent associée à plusieurs espèces d'euphorbes. On la trouve au sol, au pied des mottes d'euphorbes, sous les débris végétaux ou les pierres à leur base, et même sur les fleurs d’euphorbes, ce qui n'est pas fréquent chez les Cydninae qui sont plutôt des espèces qui restent enfouies dans le sol. L'espèce est aussi signalée sur la potentille printanière.
Biogéographie et écologie :
Espèce à distribution eurosibérienne étendue, atteignant 55° de latitude nord. Bien qu’absente en Grande-Bretagne et en Scandinavie, elle se rencontre dans la majeure partie de l’Europe et jusqu’en Chine vers l’est. Elle vit également en Afrique du Nord, à Madère et en Afrique centrale. Elle a été introduite en Afrique du Sud, aux États-Unis et dans les Antilles. On la trouve dans les milieux sablonneux ou rocailleux bien exposés, chauds et secs : dunes maritimes littorales, bords des cours d’eau, terrasses sur substrat drainant, pelouses calcaires, crêtes rocheuses, garrigues et maquis.
Roland Lupoli None, 2019. Source : INPN
Diagnose :
Punaise entièrement noire, avec des soies sur les bords de la tête, du pronotum et des ailes, et des pattes fortement épineuses car fouisseuses (sous-famille des Cydninae). C’est le plus grand Cydnidae d’Europe qui se distingue par une forte dépression transversale sur son pronotum, la forme de son scutellum en triangle équilatéral, et les bords de la partie sclérifiée des ailes, en zigzag.
Détermination : Simple.
Espèces proches :
Les autres Cydnidae noirs sont plus petits et n’ont pas de forte impression transversale sur le pronotum, un scutellum élancé en triangle isocèle et le bord de la partie sclérifiée de l’aile, droit.
Période d’observation : Mars à septembre avec deux pics en avril et juin.
Biologie-éthologie :
Cette espèce est souvent associée à plusieurs espèces d'euphorbes. On la trouve au sol, au pied des mottes d'euphorbes, sous les débris végétaux ou les pierres à leur base, et même sur les fleurs d’euphorbes, ce qui n'est pas fréquent chez les Cydninae qui sont plutôt des espèces qui restent enfouies dans le sol. L'espèce est aussi signalée sur la potentille printanière.
Biogéographie et écologie :
Espèce à distribution eurosibérienne étendue, atteignant 55° de latitude nord. Bien qu’absente en Grande-Bretagne et en Scandinavie, elle se rencontre dans la majeure partie de l’Europe et jusqu’en Chine vers l’est. Elle vit également en Afrique du Nord, à Madère et en Afrique centrale. Elle a été introduite en Afrique du Sud, aux États-Unis et dans les Antilles. On la trouve dans les milieux sablonneux ou rocailleux bien exposés, chauds et secs : dunes maritimes littorales, bords des cours d’eau, terrasses sur substrat drainant, pelouses calcaires, crêtes rocheuses, garrigues et maquis.
Roland Lupoli None, 2019. Source : INPN
Cydnus aterrimus s’observe à vue, sur le sol ou sous des pierres ; généralement dans les milieux ouverts et ensoleillés comme les dunes, les pelouses calcaires et les bords des cours d’eau.
Elle semble apprécier les Euphorbes où elle peut se trouver sur les inflorescences et principalement au niveau des pieds.
Source : "Picardie Nature", sous licence CC BY-NC-ND.
Elle semble apprécier les Euphorbes où elle peut se trouver sur les inflorescences et principalement au niveau des pieds.
Source : "Picardie Nature", sous licence CC BY-NC-ND.
Cette punaise est présente partout en France mais peu connue par manque de prospections et certainement plus rare dans le nord de la France et dans les terres.
L'espèce a été observée de mai à aout en Picardie.
L'espèce se déplaçant au sol, elle est donc peu détectée d'où le peu d'observations. Elle peut être considérée comme peu commune en Picardie car elle doit être localisée sur des habitats spécifiques.
Des recherches ciblées dans les terres où sa plante hôte est bien présente permettraient d'améliorer les connaissances.
8 à12m
C’est la plus grande espèce de Cydnidae en France. Elle s'identifie facilement par la forme de son scutellum qui est relativement peu élancé par rapport à d'autres espèces comme le genre Sehirus.
Source : "Picardie Nature", sous licence CC BY-NC-ND.
L'espèce a été observée de mai à aout en Picardie.
L'espèce se déplaçant au sol, elle est donc peu détectée d'où le peu d'observations. Elle peut être considérée comme peu commune en Picardie car elle doit être localisée sur des habitats spécifiques.
Des recherches ciblées dans les terres où sa plante hôte est bien présente permettraient d'améliorer les connaissances.
8 à12m
C’est la plus grande espèce de Cydnidae en France. Elle s'identifie facilement par la forme de son scutellum qui est relativement peu élancé par rapport à d'autres espèces comme le genre Sehirus.
Source : "Picardie Nature", sous licence CC BY-NC-ND.
Brachypelta aterrima (Forster, 1771)
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Cimex aterimus Forster, 1771
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Cydnus infernalis Kiritshenko, 1966
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Cydnus sobrius de la Fuente, 1971