Punaise verte bleuâtre
Zicrona caerulea (Linnaeus, 1758)
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commune -
1
observateur -
Première observation
2017 -
Dernière observation
2017
Tillier Pierre
Informations espèce
Taille : 5,5 – 8 mm
Diagnose :
Petite punaise entièrement de couleur vert métallisé. Angles huméraux du pronotum non saillants, et ses bords latéraux antérieurs lisses. Elle possède un rostre épais capable de se diriger vers l’avant de la tête car c’est une espèce prédatrice d’insectes. Cela se traduit par une tête relativement plus large et des joues (jugas) larges dépassant le nez (clypéus) vers l’avant. Fémurs avant sans dent sur leur face inférieure.
Détermination : Simple.
Espèces proches :
Elle ressemble à des espèces de couleur vert métallisé du genre Canthophorus, mais celles-ci ont des épines sur les pattes, pas Zicrona. L’espèce Eurydema cyanea lui ressemble aussi, mais elle ne possède pas de rostre épais.
Période d’observation :
Toute l’année mais principalement d’avril à octobre avec un pic en juillet.
Biologie-éthologie :
Elle vit sur les arbustes et plantes herbacées. C’est un prédateur d'adultes et de larves de coléoptères phytophages comme les altises et les chrysomèles, et parfois de petites chenilles de lépidoptères. Elle peut se nourrir sur des plantes comme l'épilobe en épi en l’absence de proies.
Biogéographie et écologie :
Espèce répandue sur tout le domaine Paléarctique, au nord jusqu'au cercle polaire (67° de latitude nord), à l’est jusqu’en Sibérie, Chine et Japon, et au sud en Afrique du Nord, Moyen-Orient, Inde, Indonésie et Malaisie. Elle est aussi présente en Amérique du Nord. Elle vit dans les milieux frais et humides, ouverts ou faiblement boisés : bords des ruisseaux, prairies humides marécageuses, landes. Dans le nord, elle affectionne les coteaux calcaires et les landes sèches. Parfois rencontrée en arrière-dune littorale. Cette espèce est commune et sa fréquence dépend des ressources alimentaires disponibles.
Roland Lupoli None, 2020. Source : INPN
Diagnose :
Petite punaise entièrement de couleur vert métallisé. Angles huméraux du pronotum non saillants, et ses bords latéraux antérieurs lisses. Elle possède un rostre épais capable de se diriger vers l’avant de la tête car c’est une espèce prédatrice d’insectes. Cela se traduit par une tête relativement plus large et des joues (jugas) larges dépassant le nez (clypéus) vers l’avant. Fémurs avant sans dent sur leur face inférieure.
Détermination : Simple.
Espèces proches :
Elle ressemble à des espèces de couleur vert métallisé du genre Canthophorus, mais celles-ci ont des épines sur les pattes, pas Zicrona. L’espèce Eurydema cyanea lui ressemble aussi, mais elle ne possède pas de rostre épais.
Période d’observation :
Toute l’année mais principalement d’avril à octobre avec un pic en juillet.
Biologie-éthologie :
Elle vit sur les arbustes et plantes herbacées. C’est un prédateur d'adultes et de larves de coléoptères phytophages comme les altises et les chrysomèles, et parfois de petites chenilles de lépidoptères. Elle peut se nourrir sur des plantes comme l'épilobe en épi en l’absence de proies.
Biogéographie et écologie :
Espèce répandue sur tout le domaine Paléarctique, au nord jusqu'au cercle polaire (67° de latitude nord), à l’est jusqu’en Sibérie, Chine et Japon, et au sud en Afrique du Nord, Moyen-Orient, Inde, Indonésie et Malaisie. Elle est aussi présente en Amérique du Nord. Elle vit dans les milieux frais et humides, ouverts ou faiblement boisés : bords des ruisseaux, prairies humides marécageuses, landes. Dans le nord, elle affectionne les coteaux calcaires et les landes sèches. Parfois rencontrée en arrière-dune littorale. Cette espèce est commune et sa fréquence dépend des ressources alimentaires disponibles.
Roland Lupoli None, 2020. Source : INPN
Dans le sud de la France, elle semble localisée aux zones humides comme les marais, les prairies humides ou les bois frais. En Picardie, elle affectionne également les coteaux calcaires et les friches thermophiles comme l'atteste de nombreuses données. Cette punaise prédatrice se nourrit surtout de chrysomèles (Coléoptères) ; aussi bien des larves que des adultes.
Source : "Picardie Nature", sous licence CC BY-NC-ND.
Source : "Picardie Nature", sous licence CC BY-NC-ND.
La Punaise verte bleuâtre est présente sur plusieurs continents ; dans toute l'Europe, en Asie, au nord de l'Afrique et même en Amérique du Nord. Elle est présente sur l'ensemble de la France et dans les 3 départements picards. Sa rencontre se fait à vue sur les plantes basses, voire au sol ou en fauchant la végétation basse à l'aide d'un filet-fauchoir.
En Picardie, elle a été observée sur une grande partie de l'année, de mars à octobre. Elle doit passer l'hiver au stade adulte à l'abri du froid sous une souche ou une pierre ou dans la litière. Les larves semblent être visibles durant la belle saison de mai à août.
La Punaise verte bleuâtre est une espèce commune en France. En Picardie, les données sont encore insuffisantes pour avoir une réelle idée de sa rareté mais elle peut être considérée "peu commune" comme la plupart des Asopinae. C'est la ressource alimentaire qui va jouer un rôle important sur la présence de cette punaise sur un site.
Taille allant de 5 à 8 mm
Source : "Picardie Nature", sous licence CC BY-NC-ND.
En Picardie, elle a été observée sur une grande partie de l'année, de mars à octobre. Elle doit passer l'hiver au stade adulte à l'abri du froid sous une souche ou une pierre ou dans la litière. Les larves semblent être visibles durant la belle saison de mai à août.
La Punaise verte bleuâtre est une espèce commune en France. En Picardie, les données sont encore insuffisantes pour avoir une réelle idée de sa rareté mais elle peut être considérée "peu commune" comme la plupart des Asopinae. C'est la ressource alimentaire qui va jouer un rôle important sur la présence de cette punaise sur un site.
Taille allant de 5 à 8 mm
Avec sa coloration typique et ses reflets métalliques, elle est difficilement confondable avec d'autres espèces de punaises.
Source : "Picardie Nature", sous licence CC BY-NC-ND.
Cimex caeruleus Linnaeus, 1758
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Stiretrus coeruleus (Linnaeus, 1758)
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Zicrona coerulae (Linnaeus, 1758)
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Zicrona coerulea (Linnaeus, 1758)