Platynaspis luteorubra (Goeze, 1777)
Classe :
Insecta
Ordre :
Coleoptera
Famille :
Coccinellidae
Sous-Famille :
Coccinellinae
Tribu :
Platynaspidini
Genre :
Platynaspis
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- 9 observations
-
7
communes -
7
observateurs -
Première observation
1852 -
Dernière observation
2023
Informations espèce
Taille : 3-4 mm
Diagnose :
Corps en ovale court, très convexe, à longue pubescence claire bien visible, luisant, entièrement noir avec les côtés du pronotum et deux taches rondes sur chaque élytre orangés. La première tache est située un peu avant le milieu, la seconde avant l’apex. Les appendices sont orangés. Les antennes très courtes se terminent par une massue de 3 articles peu marquée. Le pronotum est très transverse, à ponctuation fine et dense, à base aussi large que les élytres.
Identification : Très difficile.
Confusions possibles :
Plusieurs espèces de Scymninae ont une coloration proche mais sont constamment de taille inférieure.
Périodes d’observation (adultes) : Mai à septembre.
Biologie-éthologie :
La larve carnassière se nourrit de cochenilles. Les adultes se rencontrent sur la végétation.
Biogéographie-écologie :
Milieux ouverts et bois clairs de toute l’Europe.
Références :
Fürsch H., 1967 : Clavicornia : Coccinellidae. In Freude H., Harde K.W. & Lohse G.A., Die Käfer Mitteleuropas. Band 7. Krefeld, Goecke & Evers: 227-278.
Hervé Bouyon ACOREP-France, 2020. Source : INPN
Diagnose :
Corps en ovale court, très convexe, à longue pubescence claire bien visible, luisant, entièrement noir avec les côtés du pronotum et deux taches rondes sur chaque élytre orangés. La première tache est située un peu avant le milieu, la seconde avant l’apex. Les appendices sont orangés. Les antennes très courtes se terminent par une massue de 3 articles peu marquée. Le pronotum est très transverse, à ponctuation fine et dense, à base aussi large que les élytres.
Identification : Très difficile.
Confusions possibles :
Plusieurs espèces de Scymninae ont une coloration proche mais sont constamment de taille inférieure.
Périodes d’observation (adultes) : Mai à septembre.
Biologie-éthologie :
La larve carnassière se nourrit de cochenilles. Les adultes se rencontrent sur la végétation.
Biogéographie-écologie :
Milieux ouverts et bois clairs de toute l’Europe.
Références :
Fürsch H., 1967 : Clavicornia : Coccinellidae. In Freude H., Harde K.W. & Lohse G.A., Die Käfer Mitteleuropas. Band 7. Krefeld, Goecke & Evers: 227-278.
Hervé Bouyon ACOREP-France, 2020. Source : INPN
Elle se trouve souvent dans des milieux secs et chauds en été (pelouses calcicoles, pelouse sur sable, sol crayeux), visiblement à proximité des fourmis ou bien dans des zones avec des résineux. Elle a souvent été retrouvée sur des Pins, des Lierres et des haies de Hêtre en hiver.
Source : "Picardie Nature", sous licence CC BY-NC-ND.
Source : "Picardie Nature", sous licence CC BY-NC-ND.
Espèce peu commune présente essentiellement dans la Somme avec des données éparses dans l'Oise et l'Aisne. De nombreuses zones sont encore sous-prospectées, cela explique les lacunes de connaissance sur certains secteurs de l'Aisne et de l'Oise. Sa détection est principalement réalisée par le battage de la végétation.
Détectée toute l'année en Picardie avec un pic d'observations en août et septembre.
C'est une espèce qui reste non-évaluée (NE) à l'échelle française et en préoccupation mineure (LC) en Picardie. C'est une espèce qui semble être en expansion dans la région.
Coccinelle de petite taille (3mm) qui se déplace très vite. Comme toute les espèces de la sous-famille Chilocorinae, l'insertion antennaire est cachée par une tête prolongée en avant des yeux. Les élytres sont poilus et tâchés de 4 taches jaune-rouge.
Source : "Picardie Nature", sous licence CC BY-NC-ND.
Détectée toute l'année en Picardie avec un pic d'observations en août et septembre.
C'est une espèce qui reste non-évaluée (NE) à l'échelle française et en préoccupation mineure (LC) en Picardie. C'est une espèce qui semble être en expansion dans la région.
Coccinelle de petite taille (3mm) qui se déplace très vite. Comme toute les espèces de la sous-famille Chilocorinae, l'insertion antennaire est cachée par une tête prolongée en avant des yeux. Les élytres sont poilus et tâchés de 4 taches jaune-rouge.
Source : "Picardie Nature", sous licence CC BY-NC-ND.
Coccinella luteorubra Goeze, 1777
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