Coccinelle éclatante
Coccinella magnifica Redtenbacher, 1843
Classe :
Insecta
Ordre :
Coleoptera
Famille :
Coccinellidae
Sous-Famille :
Coccinellinae
Tribu :
Coccinellini
Genre :
Coccinella
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- 4 observations
-
3
communes -
7
observateurs -
Première observation
1938 -
Dernière observation
2024
Daumal Thibaud
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Gruau Kevin
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Parmentier Emmanuel
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Pencoat Jones Albane
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Ruter G.
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Terrasse Gilbert
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Tirmarche Denis
Informations espèce
Taille : 6-8 mm
Diagnose :
Corps en ovale court, glabre, très convexe, luisant, élytres orange avec 7 grosses taches noires dont une scutellaire. Les élytres ont le bord latéral régulièrement convexe, vertical. Les pattes sont noires. La tête est noire avec deux taches blanches. Les antennes testacées n’atteignent pas le milieu du pronotum et se terminent par une massue de 3 articles. Le pronotum est très transverse, noir avec une tache blanche rectangulaire aux angles antérieurs, à ponctuation fine et dense, nettement rétréci en arrière, sensiblement plus étroit que les élytres.
Identification : Très difficile.
Confusions possibles :
C. septempunctata a un bourrelet latéral sur les élytres qui en modifie la convexité, ses taches noires sont généralement plus petites.
Périodes d’observation (adultes) : Mai à octobre.
Biologie-éthologie :
La larve et l’adulte sont aphidiphages. Les adultes se rencontrent sur la végétation, souvent à proximité des dômes de Formica rufa ou pratensis.
Biogéographie-écologie :
Zones boisées de toute l’Europe.
Références :
Fürsch H., 1967 : Clavicornia : Coccinellidae. In Freude H., Harde K.W. & Lohse G.A., Die Käfer Mitteleuropas. Band 7. Krefeld, Goecke & Evers: 227-278.
Hervé Bouyon ACOREP-France, 2020. Source : INPN
Diagnose :
Corps en ovale court, glabre, très convexe, luisant, élytres orange avec 7 grosses taches noires dont une scutellaire. Les élytres ont le bord latéral régulièrement convexe, vertical. Les pattes sont noires. La tête est noire avec deux taches blanches. Les antennes testacées n’atteignent pas le milieu du pronotum et se terminent par une massue de 3 articles. Le pronotum est très transverse, noir avec une tache blanche rectangulaire aux angles antérieurs, à ponctuation fine et dense, nettement rétréci en arrière, sensiblement plus étroit que les élytres.
Identification : Très difficile.
Confusions possibles :
C. septempunctata a un bourrelet latéral sur les élytres qui en modifie la convexité, ses taches noires sont généralement plus petites.
Périodes d’observation (adultes) : Mai à octobre.
Biologie-éthologie :
La larve et l’adulte sont aphidiphages. Les adultes se rencontrent sur la végétation, souvent à proximité des dômes de Formica rufa ou pratensis.
Biogéographie-écologie :
Zones boisées de toute l’Europe.
Références :
Fürsch H., 1967 : Clavicornia : Coccinellidae. In Freude H., Harde K.W. & Lohse G.A., Die Käfer Mitteleuropas. Band 7. Krefeld, Goecke & Evers: 227-278.
Hervé Bouyon ACOREP-France, 2020. Source : INPN
Son cycle de vie est intimement lié à celui de ces fourmis rousses : fourmis forestières réalisant des dômes importants. Quelques secteurs de dômes sont connus Picardie : la Coccinelle des fourmilières doit y être recherchée.
Régime alimentaire :
Elle se nourrit de pucerons élevés par les colonies de fourmis rousses au sein des dômes.
Source : "Picardie Nature", sous licence CC BY-NC-ND.
Source : "Picardie Nature", sous licence CC BY-NC-ND.
Espèce dont la présence est exeptionnelle en Picardie en raison de son écologie spécifique. Retrouvée à deux reprises dans l'Oise dont une récemment (2019), dans l'Aisne cela fait plus de 10 ans qu'elle n'a pas été détectée et dans la Somme aucune mention n'existe actuellement. Sa détection se réalise à vue sur ou près des dômes de fourmis du genre Formica.
Le peu de données en Picardie ne permet pas d'établir une phénologie de cette espèce.
C'est une espèce qui reste non-évaluée (NE) à l'échelle française et en Danger (EN) en Picardie. La disparition des fourmis du genre Formica est la principale menace qui pèse sur les populations de la Coccinelles des fourmilières.
Coccinelle de grande taille (5-8mm), ressemblant beaucoup à la Coccinelle à sept points. Les différences se relèvent par des détails très précis sur la forme des taches des élytres et du pronotum. Le critère le plus fiable est la forme corps très bombé et se terminant nettement, elle a aussi parfois les quatre épimères blancs sur la face ventrale contrairement et deux petits points noirs à l'avant des élytres contrairement à la Coccinelle à sept points qui n'a que deux épimères blanc et sept points noirs.
Source : "Picardie Nature", sous licence CC BY-NC-ND.
Le peu de données en Picardie ne permet pas d'établir une phénologie de cette espèce.
C'est une espèce qui reste non-évaluée (NE) à l'échelle française et en Danger (EN) en Picardie. La disparition des fourmis du genre Formica est la principale menace qui pèse sur les populations de la Coccinelles des fourmilières.
Coccinelle de grande taille (5-8mm), ressemblant beaucoup à la Coccinelle à sept points. Les différences se relèvent par des détails très précis sur la forme des taches des élytres et du pronotum. Le critère le plus fiable est la forme corps très bombé et se terminant nettement, elle a aussi parfois les quatre épimères blancs sur la face ventrale contrairement et deux petits points noirs à l'avant des élytres contrairement à la Coccinelle à sept points qui n'a que deux épimères blanc et sept points noirs.
Source : "Picardie Nature", sous licence CC BY-NC-ND.
Coccinella distincta Faldermann, 1837
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