Bihoreau gris
Nycticorax nycticorax (Linnaeus, 1758)
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- 6 observations
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5
communes -
5
observateurs -
Première observation
2000 -
Dernière observation
2023
Informations espèce
Longueur 58-65 cm, envergure 105-112 cm, poids moyen 550-800 g.
Il habite aux abords d’eaux peu profondes, stagnantes ou faiblement courantes. Ses préférences vont vers les larges rivières naturelles bordées de ripisylves, mais il fréquente aussi les marais inondés, les gravières anciennes... Ses nids et ses dortoirs sont dans les arbres. Le Héron bihoreau se nourrit essentiellement d’amphibiens, de poissons et d’insectes. Son mode de chasse est crépusculaire et nocturne. Il pêche en solitaire et défend un territoire alimentaire.
L’espèce niche en colonies parfois importantes (plusieurs centaines de couples), éventuellement en compagnie d’autres Ardéidés. Dans les colonies mixtes, le Bihoreau se répartit en unités denses dans les parties hautes des arbres. Il n’est pas rare d’observer une trentaine de nids dans un seul arbre. Après la reproduction, il est solitaire, sauf en migration et au dortoir.
Le nid est une simple plate-forme de branchettes dont la solidité est très variable. Il est construit dans un arbre ou un arbuste, plus rarement dans une roselière, à au moins 2 m du sol. La ponte de 3 à 5 œufs est déposée à partir de mi-avril. L’incubation dure 3 semaines et les jeunes sont volants à l’âge de 40-50 jours. Dès la 3e semaine, ils quittent le nid et n’y reviennent que pour y être nourris. Les juvéniles peuvent se déplacer librement au sein de la colonie sans provoquer d’hostilité de la part des adultes.
Spanneut, L. Ecosphère, Service du Patrimoine Naturel., 2008. Source : INPN
Il habite aux abords d’eaux peu profondes, stagnantes ou faiblement courantes. Ses préférences vont vers les larges rivières naturelles bordées de ripisylves, mais il fréquente aussi les marais inondés, les gravières anciennes... Ses nids et ses dortoirs sont dans les arbres. Le Héron bihoreau se nourrit essentiellement d’amphibiens, de poissons et d’insectes. Son mode de chasse est crépusculaire et nocturne. Il pêche en solitaire et défend un territoire alimentaire.
L’espèce niche en colonies parfois importantes (plusieurs centaines de couples), éventuellement en compagnie d’autres Ardéidés. Dans les colonies mixtes, le Bihoreau se répartit en unités denses dans les parties hautes des arbres. Il n’est pas rare d’observer une trentaine de nids dans un seul arbre. Après la reproduction, il est solitaire, sauf en migration et au dortoir.
Le nid est une simple plate-forme de branchettes dont la solidité est très variable. Il est construit dans un arbre ou un arbuste, plus rarement dans une roselière, à au moins 2 m du sol. La ponte de 3 à 5 œufs est déposée à partir de mi-avril. L’incubation dure 3 semaines et les jeunes sont volants à l’âge de 40-50 jours. Dès la 3e semaine, ils quittent le nid et n’y reviennent que pour y être nourris. Les juvéniles peuvent se déplacer librement au sein de la colonie sans provoquer d’hostilité de la part des adultes.
Spanneut, L. Ecosphère, Service du Patrimoine Naturel., 2008. Source : INPN
Il fréquente les lacs, les marécages et les rivières bordés de végétation dense. Il niche et dort dans les arbres.
Il s'observe rarement en Picardie (Parc du Marquenterre), durant l'hiver.
Source : "Picardie Nature", sous licence CC BY-NC-ND.
Il s'observe rarement en Picardie (Parc du Marquenterre), durant l'hiver.
Source : "Picardie Nature", sous licence CC BY-NC-ND.
Il niche de l'Europe à la Chine, mais aussi en Amérique du Nord. Les populations les plus septentrionales vont passer l'hiver au Sahara.
C'est une espèce nocturne et donc difficile à observer, les contacts les plus connus reste ceux fait sur les sites de reproduction connus surtout sur le littoral.
La disparition des zones humides, les dérangements dans les sites de nidification et la pollution des eaux provoquant la diminution des ressources alimentaires.
Il est certains que sa population régionale est inférieur à 125 couples.
C'est une espèce faisant l'objet de mesures spéciales de conservation, en particulier en ce qui concerne son habitat (Zones de Protection Spéciales, inscrit en Annexe I de la Directive Oiseaux).
Source : "Picardie Nature", sous licence CC BY-NC-ND.
C'est une espèce nocturne et donc difficile à observer, les contacts les plus connus reste ceux fait sur les sites de reproduction connus surtout sur le littoral.
La disparition des zones humides, les dérangements dans les sites de nidification et la pollution des eaux provoquant la diminution des ressources alimentaires.
Il est certains que sa population régionale est inférieur à 125 couples.
C'est une espèce faisant l'objet de mesures spéciales de conservation, en particulier en ce qui concerne son habitat (Zones de Protection Spéciales, inscrit en Annexe I de la Directive Oiseaux).
Source : "Picardie Nature", sous licence CC BY-NC-ND.
Ardea nycticorax Linnaeus, 1758
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