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- 17 observations
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7
communes -
9
observateurs -
Première observation
2010 -
Dernière observation
2022
Barbier Simon
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Baudin Karen
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Cheyrezy Thomas
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Daumal Thibaud
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Huchin Romain
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Lebrun Jérémy
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Petit François (abmars)
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Pineau Adrien
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Top Damien
Informations espèce
Taille/poids :
Envergure : 32 - 43 mm.
Diagnose :
La couleur de fond du corps et du recto des ailes antérieures est gris-noir ; sur ces dernières, un trait large de couleur rouge s'étire le long de la côte et du bord interne ; l'aire marginale est ponctuée par deux taches rouges plus ou moins arrondies. Le dessus des ailes postérieures est rouge avec des franges et la côte gris-noir.
Détermination :
L'identification de l'espèce est très facile.
Espèces proches :
La Goutte-de-sang est caractéristique et ne peut être confondue avec aucune autre espèce de la faune lépidoptérique du paléarctique.
Période d’observation :
L'imago s'observe selon les localités, de fin mai à août.
Biologie-éthologie :
Cette espèce a une génération par an. L'adulte a une activité plutôt diurne, mais il peut être aussi actif de nuit. L'hivernage se fait au stade de chrysalide. La ponte se fait par petites plaques sur la face inférieure de la feuille de la plante hôte. Ainsi, il n'est pas rare d'observer plusieurs chenilles sur la même plante. Les chenilles ont la particularité d'être rayées transversalement de noir et de jaune. Chez cette espèce, ces couleurs aposématiques (jaune puis rouge) sont présentes afin de prévenir de sa toxicité induite par l'absorption des alcaloïdes pyrrolizidiniques produits par la plante hôte. Elle se développe essentiellement sur des plantes du genre Senecio spp., mais aussi sur Tussilago farfara et Petasites spp.
Biogéographique et écologie :
Eurosibérienne, elle est notée dans toute l'Europe excepté des régions boréales, puis dans l'ouest et le centre de l'Asie jusqu’au massif du Tian Shan et du mont Altaï en Sibérie. Introduite en Amérique du Nord, en Australie et en Nouvelle-Zélande pour lutter contre les Séneçons, plante introduite et devenue envahissante. La Goutte-de-sang s'observe dans de nombreux milieux selon la latitude et l'altitude où elle vit. Elle privilégie les habitats secs et chauds dans les pays du nord et du centre de l'Europe, comme les steppes sableuses et calcaires et les prairies ouvertes, les plateaux rocheux et les pentes, alors que dans le sud on aura tendance à l'observer dans les prairies humides de moyenne montagne. Elle est présente aux étages collinéen et montagnard.
D'après :
Ligue suisse pour la protection de la nature (L.S.P.N.), 2005. Les Papillons et leurs biotopes. Espèces. Dangers qui les menacent. Protection. L.S.P.N. Pro Natura, Bâle, volume 3, 916 pp.
Witt, T.J. & L.Ronkay, 2011: Lymantriinae and Arctiinae - Including Phylogeny and Check List of the Quadrifid Noctuoidea of Europe. Noctuidae Europaeae Volume 13: 1-448.
Y. Baillet Flavia APE, 2018. Source : INPN
Witt, T.J. & L.Ronkay, 2011: Lymantriinae and Arctiinae - Including Phylogeny and Check List of the Quadrifid Noctuoidea of Europe. Noctuidae Europaeae Volume 13: 1-448.
L'espèce fréquente des milieux ouverts tels que les prairies, carrières, dunes mais aussi dans les jardins. La chenille se nourrit de Séneçon.
Source : "Picardie Nature", sous licence CC BY-NC-ND.
Source : "Picardie Nature", sous licence CC BY-NC-ND.
La Goutte-de-sang est une espèce commune. Elle est facilement observable la journée aussi bien en adulte qu'en chenille dans les milieux ouverts où pousse sa plante hôte.
La Goutte-de-sang se rencontre de mai à août. L'espèce passe l'hiver sous forme de chrysalide. La chenille s'observe durant les mois de juillet et d'août.
L'espèce n'est pas menacée en Picardie et ses populations sont a priori stables.
La chenille est très reconnaissable à ses rayures jaunes et noirs. L'adulte se reconnaît facilement aux tâches rouges présentes sur ses ailes. Attention toute fois à ne pas le confondre avec des Zygènes dont les tâches sont plus nombreuses.
Source : "Picardie Nature", sous licence CC BY-NC-ND.
La Goutte-de-sang se rencontre de mai à août. L'espèce passe l'hiver sous forme de chrysalide. La chenille s'observe durant les mois de juillet et d'août.
L'espèce n'est pas menacée en Picardie et ses populations sont a priori stables.
La chenille est très reconnaissable à ses rayures jaunes et noirs. L'adulte se reconnaît facilement aux tâches rouges présentes sur ses ailes. Attention toute fois à ne pas le confondre avec des Zygènes dont les tâches sont plus nombreuses.
Source : "Picardie Nature", sous licence CC BY-NC-ND.
Callimorpha senecionis Godart, 1832
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Euchalcia jacobaeae (Linnaeus, 1758)
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Eucharia jacobaeae (Linnaeus, 1758)
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Euchelia jacobeae (Linnaeus, 1758)
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Hipocrita jacobaeae (Linnaeus, 1758)
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Phalaena jacobaeae Linnaeus, 1758
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